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Le Chœur lyrique de Saint-Étienne Loire très bien préparé par Laurent Touche est à féliciter pour sa prestation vocale et son investissement scénique.
Les Contes d’Hoffmann (Offenbach) — G. Ferrand, ODB-Opéra, 2017.
des chœurs bien préparés par Laurent Touche, toujours solides et puissants, jamais braillards.
Lohengrin (Wagner) — J. Bonnaure, La Lettre du musicien, juillet 2017.
Any doubts that the St. Etienne orchestra and chorus would be able to fulfill the requirements of the score were happily dispelled: the chorus was particularly magnificent and responded to Kawka’s baton with a precision that many Parisian houses could envy.
Lohengrin (Wagner) — S. J. Mudge, Opera News, 2017.
Les chœurs sont impressionnants de précision et de puissance et le mérite en revient beaucoup au travail de leur chef Laurent Touche.
Lohengrin (Wagner) — ODB-Opéra, 2017.
Le Chœur lyrique parfaitement préparé par Laurent Touche se montre vaillant et bien chantant.
Eugène Onéguine (Tchaïkovski) — F. Jestin, Opéra Magazine, 2017.
The ladies of the Saint Etienne chorus, however, were in fine ecclesiastical form.
Dialogues des carmélites (Poulenc) — S. J. Mudge, Opera News, 2017.
Sous la baguette de Laurent Touche, l’Orchestre symphonique Saint-Étienne Loire est parfaitement à l’aise dans cette musique mélodique et rythmée.
Aladin et la lampe merveilleuse (Rota) — C. Scholler, Opéra magazine, 2016
Le Chœur lyrique Saint-Étienne Loire, préparé par Laurent Touche, délivre une fervente interprétation de l’hymne tant attendu, mais aussi une ardeur dramatique saisissante dans les dialogues avec les solistes.
Nabucco (Verdi) — P. Henriot, Opéra magazine, 2016.
Dans un tel opéra biblique, les chœurs sont un personnage à part entière et Laurent Touche les a admirablement préparés.
Nabucco (Verdi) — J. Bonnaure, La Lettre du musicien, 2016.
Une mention pour le très homogène Chœur lyrique.
L’Italiana in Algeri (Rossini) — A. Caron, Opéra magazine, 2016
Le Chœur lyrique et l’Orchestre symphonique Saint-Étienne Loire, conduits avec une assurance rassurante par Laurent Touche, concourent au succès de la représentation.
Le Médecin malgré lui (Gounod) — F. Lesueur, Opéra magazine, 2015.
Impeccablement dirigé par Laurent Touche, l’Orchestre symphonique Saint-Étienne Loire joue, avec des raffinements admirables, la jolie partition de Messager, dont il rend avec brio la subtilité rythmique et l’instrumentation debussyste.
Fortunio (Messager) — J.-L. Macia, Opéra magazine, 2015.
À la tête du solide Orchestre symphonique Saint-Étienne Loire, Laurent Touche insuffle ce qu’il faut de pétillant pour que la soirée soit parfaite.
L’île de Tulipatan (Offenbach) — C. Scholler, Opéra Magazine, n° 70, 2012.
La partie piano s’avère la plus substantielle, et l’on a plaisir à y entendre Laurent Touche, qui est un peu l’homme à tout -bien – faire à Saint-Étienne, à la fois directeur du chœur, chef d’orchestre pour Cendrillon en octobre et ici accompagnateur délicat.
Récital Pensées d’automne, avec Ingrid Perruche et Lionel Lhote — Forumopera.com, novembre 2012.
D’une précisions qui ferait pâlir bien de plus prestigieuses formations, le Chœur lyrique Saint-Étienne Loire force l’admiration dans une partition qui le sollicite largement.
Le Mage (Massenet) — G. Charlassier, ConcertoNet.com, 2012.
Rien à reprocher non plus au chœur, admirable de cohésion et d’homogénéité, d’une intelligibilité parfaite et d’une pâte sonore magnifique, preuve du travail exceptionnel de Laurent Touche.
Le Mage (Massenet) — Classiquenews.com, 2012.
Au clavier, nous savions déjà combien sa maîtrise est confondante. Ici, il semble de démultiplier, soutenant les protagonistes, dominant une partition relativement complexe […]. Laurent Touche en restitue toutes les nuances avec autant d’esprit dans le comique qu’une distinction hors de pair pour les passages élégiaques.
Cendrillon (Viardot) — P. Favre-Tissot, Lyon Newsletter, mars 2011.
Véritable opéra-comique à l’écriture raffinée, Véronique requiert, en plus d’un orchestre symphonique capable de transparence et de délicatesse, un chef attentif à la ligne de chant et à la dynamique. La direction de Laurent Touche réunit ces qualités et l’Orchestre symphonique de Saint-Étienne, rompu aux œuvres de Berlioz et de Massenet comme à la création contemporaine, possède l’assise pour relever ce défi.
Véronique (Messager) — P. Henriot, Opéra Magazine, n° 59, 2011.
Cet ensemble d’ailleurs est vivifié par la direction de Laurent Touche, un jeune chef qui « monte », lequel sait user de contrastes, de souplesses, mais aussi parfois d’une infinie délicatesse, au point même de donner à l’écriture de Lehar – un compositeur un rien futile, faut-il bien le reconnaître – une profondeur insoupçonnée.
La Veuve joyeuse (Lehar) — J.-L. Perrot, Le Progrès, janvier 2004.