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Comme à l’accoutumée, le Chœur lyrique de Saint-Étienne Loire préparé par Laurent Touche ménage de grands moments de musique.
Thaïs (Massenet) — Opéra Magazine, 2024.
Laurent Touche, d’autant plus attentif au chant qu’il se partage habituellement entre la direction des chœurs et celle de l’orchestre, nous vaut une élégance, une émotion renouvellées, sachant obtenir de ses instrumentistes des couleurs et des équilibres admirables (…). La dynamique, la précision, l’attention à chacun sont indéniables.
La Veuve joyeuse (Lehàr) — Y. Beuvard, Forum Opéra, 2023.
Le Chœur Lyrique Saint-Etienne Loire, fait une nouvelle fois forte impression, fort préparé pour cette recréation par son chef Laurent Touche.
Lancelot (Joncières) — J. Pons, Olyrix, 2022.
Le Chœur lyrique de Saint-Étienne Loire très bien préparé par Laurent Touche est à féliciter pour sa prestation vocale et son investissement scénique.
Les Contes d’Hoffmann (Offenbach) — G. Ferrand, ODB-Opéra, 2017.
des chœurs bien préparés par Laurent Touche, toujours solides et puissants, jamais braillards.
Lohengrin (Wagner) — J. Bonnaure, La Lettre du musicien, juillet 2017.
Any doubts that the St. Etienne orchestra and chorus would be able to fulfill the requirements of the score were happily dispelled: the chorus was particularly magnificent and responded to Kawka’s baton with a precision that many Parisian houses could envy.
Lohengrin (Wagner) — S. J. Mudge, Opera News, 2017.
Les chœurs sont impressionnants de précision et de puissance et le mérite en revient beaucoup au travail de leur chef Laurent Touche.
Lohengrin (Wagner) — ODB-Opéra, 2017.
Le Chœur lyrique parfaitement préparé par Laurent Touche se montre vaillant et bien chantant.
Eugène Onéguine (Tchaïkovski) — F. Jestin, Opéra Magazine, 2017.
The ladies of the Saint Etienne chorus, however, were in fine ecclesiastical form.
Dialogues des carmélites (Poulenc) — S. J. Mudge, Opera News, 2017.
Sous la baguette de Laurent Touche, l’Orchestre symphonique Saint-Étienne Loire est parfaitement à l’aise dans cette musique mélodique et rythmée.
Aladin et la lampe merveilleuse (Rota) — C. Scholler, Opéra magazine, 2016
Le Chœur lyrique Saint-Étienne Loire, préparé par Laurent Touche, délivre une fervente interprétation de l’hymne tant attendu, mais aussi une ardeur dramatique saisissante dans les dialogues avec les solistes.
Nabucco (Verdi) — P. Henriot, Opéra magazine, 2016.
Dans un tel opéra biblique, les chœurs sont un personnage à part entière et Laurent Touche les a admirablement préparés.
Nabucco (Verdi) — J. Bonnaure, La Lettre du musicien, 2016.
Une mention pour le très homogène Chœur lyrique.
L’Italiana in Algeri (Rossini) — A. Caron, Opéra magazine, 2016
Le Chœur lyrique et l’Orchestre symphonique Saint-Étienne Loire, conduits avec une assurance rassurante par Laurent Touche, concourent au succès de la représentation.
Le Médecin malgré lui (Gounod) — F. Lesueur, Opéra magazine, 2015.
Impeccablement dirigé par Laurent Touche, l’Orchestre symphonique Saint-Étienne Loire joue, avec des raffinements admirables, la jolie partition de Messager, dont il rend avec brio la subtilité rythmique et l’instrumentation debussyste.
Fortunio (Messager) — J.-L. Macia, Opéra magazine, 2015.
À la tête du solide Orchestre symphonique Saint-Étienne Loire, Laurent Touche insuffle ce qu’il faut de pétillant pour que la soirée soit parfaite.
L’île de Tulipatan (Offenbach) — C. Scholler, Opéra Magazine, n° 70, 2012.
La partie piano s’avère la plus substantielle, et l’on a plaisir à y entendre Laurent Touche, qui est un peu l’homme à tout -bien – faire à Saint-Étienne, à la fois directeur du chœur, chef d’orchestre pour Cendrillon en octobre et ici accompagnateur délicat.
Récital Pensées d’automne, avec Ingrid Perruche et Lionel Lhote — Forumopera.com, novembre 2012.
D’une précisions qui ferait pâlir bien de plus prestigieuses formations, le Chœur lyrique Saint-Étienne Loire force l’admiration dans une partition qui le sollicite largement.
Le Mage (Massenet) — G. Charlassier, ConcertoNet.com, 2012.
Rien à reprocher non plus au chœur, admirable de cohésion et d’homogénéité, d’une intelligibilité parfaite et d’une pâte sonore magnifique, preuve du travail exceptionnel de Laurent Touche.
Le Mage (Massenet) — Classiquenews.com, 2012.
Au clavier, nous savions déjà combien sa maîtrise est confondante. Ici, il semble de démultiplier, soutenant les protagonistes, dominant une partition relativement complexe […]. Laurent Touche en restitue toutes les nuances avec autant d’esprit dans le comique qu’une distinction hors de pair pour les passages élégiaques.
Cendrillon (Viardot) — P. Favre-Tissot, Lyon Newsletter, mars 2011.
Véritable opéra-comique à l’écriture raffinée, Véronique requiert, en plus d’un orchestre symphonique capable de transparence et de délicatesse, un chef attentif à la ligne de chant et à la dynamique. La direction de Laurent Touche réunit ces qualités et l’Orchestre symphonique de Saint-Étienne, rompu aux œuvres de Berlioz et de Massenet comme à la création contemporaine, possède l’assise pour relever ce défi.
Véronique (Messager) — P. Henriot, Opéra Magazine, n° 59, 2011.
Cet ensemble d’ailleurs est vivifié par la direction de Laurent Touche, un jeune chef qui « monte », lequel sait user de contrastes, de souplesses, mais aussi parfois d’une infinie délicatesse, au point même de donner à l’écriture de Lehar – un compositeur un rien futile, faut-il bien le reconnaître – une profondeur insoupçonnée.
La Veuve joyeuse (Lehar) — J.-L. Perrot, Le Progrès, janvier 2004.